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MIRACLES

attribués à

Ste. RAFQA

La mort n'empêcha Sainte RAFQA de faire du bien à ceux qui l'invoquaient. Il ne faut pas s'en étonner: Les Saints dans le Ciel ont pour nous le même amour qu'ils avaient sur la terre, et leur pouvoir y est plus grand.

 

 

Soeur Ursula DOUMIT

La soeur Ursula Doumit, supérieure du monastère Saint-Joseph de Jrabta, a raconté le miracle suivant:

Je souffrais, depuis sept ans, d'une pustule à mon cou, sous le menton. Elle était aussi grosse qu'une noisette. Le docteur Antoine Khayrallah. De Jran, m'avait prescrit de la badigeonner de teinture d'iode. Mais ce fut sans aucun profit. La pustule grandissait et me faisait bien mal, de sorte que je ne pouvais même boire du lait, et je sentais, continuellement, une céphalagie.

Une nuit elle m'a causé une très violente fièvre. J'ai dit aux moniales de ne pas me réveiller pour la prière de minuit.

En dormant, j'ai entendu frapper à la porte de ma chambre, et une voix me disait:" Prends de la terre du tombeau de RAFQA, et enduis-en ta gorge". j'ai cru que c'était l'une des soeurs. J'ai dit: "Pourquoi vous ne me laissez pas dormir?". Personne ne m'a répondu. J'ai entendu la même voix répétant les mêmes paroles.

Le matin, après m'être informée auprès des moniales, j'ai compris qu'aucune d'elles n'était venue me réveiller la nuit. Alors j'ai pris de la terre du tombeau de la soeur RAFQA et l'ayant dissoute dans de l'eau j'ai enduit la pustule.

Quand après cela, on m'a offert un bol de lait, je l'ai bu sans la moindre difficulté. J'ai taté ma gorge, je n'ai trouvé aucune trace de la pustule. Dès ce moment, j'en étais complètement guérie.

 

Madeleine EL-FARANE

Autre témoignage de la mère Ursula Doumit (supérieure du monastère Saint Joseph, Jrabta):

Le jour même de ma guérison complète d'une pustule à mon cou par une pincée de la terre du tombeau de Soeur RAFQA, c'est-à-dire quelques jours après la mort de RAFQA, arriva au monastère de Saint Joseph de Jrabta le dénommé Chahine Elfarane de Sghar, village non loin du monastère. Il m'a dit en tremblant:

Ma fille, Madeleine est atteinte de la fièvre typhoïde; la fièvre l'a prise depuis huit jours, son corps est en feu et elle a perdu connaissance. Je lui ai administré certains médicaments que des voisins m'ont indiqués, mais son état n'a pas changé. Je l'ai laissée en très mauvais état, menacée d'une mort imminente. Je vous pris de me donner un peu d'argent pour appeler le médecin Antoine Khayrallah. Je lui dis: "fortifie ta foi, prends un peu de terre du tombeau de soeur RAFQA, fais-le dissoudre dans l'eau, donne-le à boire à ta fille. Et toi ne dis rien à personne. Dieu t'exaucera par l'intercession de sa servante".

Chahine reprit courage. Il fit selon le conseil de la supérieure; car il considérait soeur RAFQA comme une "Sainte".

Dès que la malade a bu de l'eau contenant de la terre du tombeau de RAFQA, elle commença à transpirer jusqu'à ce que son corps nageât dans la sueur. Les douleurs s'apaisèrent immédiatement. Elle fut absolument guérie.

 

Maryam DOUMIT

 Le même Chahine Elfarrane, après avoir raconté la guérison de sa fille à la supérieure Ursula, lui dit:

Et maintenant je viens prendre aussi de la terre sur le tombeau de soeur RAFQA, pour ta soeur Mariam (mariée au village de Sghar). Il y avait sept ans que Maryam souffrait d'une douleur atroce à une épaule gauche. Elle ne pouvait porter sa main sur son visage, ni sur sa tête qu'avec l'aide de l'autre main. Il prit de la terre et s'en alla.

Le lendemain Maryam vint au monastère de Saint Joseph portant un gallon d'huile et dit à soeur Ursula: "Cette huile est pour être brûlée devant le Saint Sacrement en action de Grâces. Mon épaule a été guérie dès que je l'ai badigeonnée avec la terre prise sur le tombeau de soeur RAFQA".

 

Elisabeth GIRGIS

Sabat (Elisabeth) épouse de Hanna (Jean) Girgis (Georges) de Tourza, au Liban nord, a témoigné de ce qui suit:

En 1936 j'ai été atteinte d'une hémorragie avec une douleur aiguë à l'utérus. Après de nombreux soins et divers médicaments, les médecins jugèrent à l'unanimité que j'avais un cancer à l'utérus, et qu'il n'y avait aucun espoir de guérison. Ils dirent à mes parents: "Prenez-la pour qu'elle ne meure pas à l'hôpital".

Nous avons quitté l'hopital Hôtel-Dieu à Beyrouth pour Tourza. En route on avait peur que je meure avant d'arriver chez nous. A Batroun, j'ai entendu ma soeur invoquant et demandant l'intercession de la soeur RAFQA . j'ai demandé à visiter son tombeau.

Nous avons passé la nuit sur la tombe de RAFQA en prière avec les moniales.

Le lendemain, l'hémorragie, diminua, puis elle cessa complètement. J'étais guérie grâce à l'intercession de "Sainte RAFQA".

Après cette guérison la miraculée a vécu trente ans.

 

Sa'dah d'Eddeh el-Batroun

Chams, la femme de Mass'oud de Eddét El-Batroun, disait:

Ma fille Saa'dah âgée de huit mois était malade du foie. J'ai appelé le médecin. Il a jugé que c'est mortel, et a d'abord refusé de lui donner un traitement. Puis, sur mon insisstance, il a, sans conviction, accepté de le faire. Quand je me suis approchée d'elle, j'ai remarqué qu'elle agonisait, et quelques moment plus tard qu'elle ne donnait aucun signe de vie. Sa tante qui était présente, commence à crier: "elle est morte". Quant à moi j'avais fait voeu à la servante de Dieu RAFQA. A la suite de mon invocation, la santé lui a été rendue.

 

Céline RBEIZ (page II)