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Témoignages
concernant la
guérison de
Céline
RBEIZ |
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Mme Yvette
Daou ,
La grand-Mère de Céline, raconte le miracle suivant,
par l'intercession de la Bse RAFQA
Céline
est née le 10 mai 1983, comme sa mère est
institutrice, je m'occupais de la garde de l'enfant.
Un
jour, sa mère m'a dit que la fille ne s'était pas
réveillée. Elle avait un an et demi en 1984. J'ai
attendu le retour de son père pour l'avertir. Son
médecin était Dr. J. Awaïda. Nous l'avons
emmenée à l'hôpital Al-Arz, son père et
moi, le Dr. Awaïda lui a pratiqué une ponction lombaire.
Elle y est restée quelques jours pour que le médecin
sache les causes de la "perte de connaissance". Après
l'examen, il a conclu qu'elle ne souffrait de rien. Alors nous
sommes rentrés à la maison. Mais quelques mois
après, on a remarqué un gonflement gauche.
Un
jour, on a constaté du sang dans les urines. Alors sa tante
Aïda Daou, infirmière diplômée, a
proposé des examens. On l'a emmenée chez le Dr.
Majdalani à l'hôpital Saint-Georges qui a ordonné
des examens de sang et radiologiques, et nous a envoyés chez
Dr. Michel Saadé, oncologue. Ce dernier a demandé au
Dr. Kyriakos de l'examiner. Le Dr. Kyriakos nous a annoncé la
présence d'une tumeur dans le rein, laquelle exige une
excision. L'opération chirurgicale a eu lieu et le
médecin m'a dit le poids de la masse: 750g. Avant et
après l'opération Céline a subi un traitement chimiothérapique.
Entre-temps,
et en faisant la chimiothérapie à domicile en 2
cycles, le médecin nous a dit que le foie était atteint
et la fille a commencé à saigner des oreilles et du
nez. Une sclérose des veines superficielles a obligé
les infirmières à faire des perfusions par les veines
du cuir chevelu.
En
novembre 1985, on m'a apporté une revue relatant la biographie
d'une sainte qui guérit de ce genre de maladie. En lisant
l'histoire, j'ai demandé à "Sainte RAFQA" de
m'envoyer quelqu'un pour m'apporter une pincée de terre.
J'avais la foi qu'au moment où je donnerai cette pincée
à la fille, elle sera guérie. Sa mère continuait
à exercer sa vie professionnelle. C'est pourquoi, je la
remplaçais à l'hôpital. Le lendemain je suis
arrivée à l'hôpital pour prendre la relève.
La
mère de Céline m'a annoncé qu'on lui avait
déjà apporté une pincée de terre prise
sur la tombe de Ste. RAFQA. Elle a demandé une tasse de
riz-au-lait. On en a pris une cuillerée, on y a ajouté
la pincée de terre, forçant la fille à en manger.
Comme
la fille a refusé d'en prendre, sa mère l'a
giflée. Et la fille a fini par manger toute la tasse. On en a
même demandé une autre. L'infirmière a
riposté en disant: "C'est vous qui les mangez, car la
fille est incapable de le faire".
Avant
cet incident de la tasse du riz-au-lait, les médecins nous
avaient dit que le foie était gravement atteint, à la
suite d'une biopsie, laquelle exigeait un repos total en
décubitus dorsal durant 48 heures.
Pendant
cette période, Dr. Jean-Paul Aoun est arrivé et a vu
la fille marcher. Il nous a posé la question: "Cette
fille doit dormir 48 heures, comment l'avez-vous laissé marcher?!".
Après
cela et à la demande des médecins, on l'a
ramenée à la maison, quitte à l'hospitaliser de
nouveau le lundi en vue d'une opération chirurgicale du foie
le mercredi.
J'ai
demandé à l'emmener au Tombeau de RAFQA, son
père avait peur de la route, un parent s'est proposé et
nous a emmenés à Jrabta. Nous y sommes arrivés,
il y avait une grande foule. J'ai eu de la peine à
accéder au tombeau de RAFQA. J'ai déposé la
petite fille devant le tombeau, lui demandant de
répéter: "Sainte RAFQA, je suis Céline, je
voudrais que tu me guérisses". Les gens présents
pleuraient et priaient avec nous. De retour à la maison, on a
continué à constater une très nette
amélioration de l'état de la fille: elle mangeait,
jouait normalement. J'ai fait un voeu: "Lorsque les cheveux de
Céline seront assez longs, j'en couperai et les enfouirai sous
l'arbre qui surplombe le tombeau où nous avions mis
déjà une plaque de marbre au nom de Céline".
Comme
prévu, nous sommes allés consulter le Dr. Michel
Saadé à l'hôpital St-Georges le lundi. En
mesurant l'abdomen, il a remarqué une nette diminution. Il en
fut étonné. Il a refait la mesure à plusieurs
reprises et a fini par nous dire: "Je ne comprends plus. Il y a
quelque chose d'inexplicable. Qu'est-ce que vous lui avez fait? Chez
quel médecin l'avez-vous emmenée?". Il nous a
remis une lettre demandant au Dr. Kyriakos d'annuler l'opération.
Le
médecin demanda à la mère de revenir pour fermer
le dossier et la réponse de la mère était:
"Moi, je l'ai déjà fermé avec "SAINTE
RAFQA". En ce qui vous concerne, faites ce que vous voulez".
Je voudrais ajouter que ma fille Habbouba a été
atteinte du cancer dans le système lymphatique (lymphome).
Ayant appris cela, j'ai posé l'image de "SAINTE
RAFQA" sur la tête et commencé à tourner
dans la maison en priant et demandant à tous les gens
présents de prier avec moi pour la guérison de
Habbouba. Elle a été guérie par la suite. Et je
tiens à noter que le cancer de Habbouba était du
premier degré alors que celui de Céline était du
troisième degré.
Bernadette
CABBABE IBRAHIM
Née
le 26/10/1948, Libanaise, Syriaque catholique, pratiquante.
Je
suis la voisine de la famille Rebeiz, depuis l'année
1977-1978. En été 1985, j'ai vu la petite Céline
pour la première fois. Elle avait deux ans ou deux ans et
demi: ventre gonflé, perfusé de sérum. J'ai
posé la question à ses parents pour en savoir la raison
et ils m'ont répondu qu'ils lui faisaient la chimiothérapie.
Personnellement
j'avais un état de santé très critique, et
j'étais en train de faire une neuvaine à la Vierge.
J'ai commencé à associer Céline à mes
prières. J'étais en visite de dévotion au
couvent de Saint-Charbel, j'ai vu un livre qui m'a attiré
l'attention, intitulé: "RAFQA, LA SIXIEME PLAIE". Je
l'ai acheté et je me suis mise à le lire. Une partie
parlait de la vie de RAFQA et une autre évoquait "les
miracles" qui ont été faits par son intercession,
surtout par la prise d'une pincée de terre de sa tombe.
Le père
Sélim RIZKALLAH,
Capucin à Notre-Dame des Anges, Badaro, nous a annoncé
qu'il organisait un pèlerinage à Jrabta,
Monastère deSte. RAFQA pour y célébrer la messe.
C'était le samedi 16 novembre 1985 la veille de Sa
Béatification à Rome. D'après mes lectures, je
croyais que le Seigneur opérait des interventions miraculeuses
spécifiques le jour de la Béatification d'un
Bienheureux juste après la communion. C'est pourquoi, j'ai
invoqué Jésus de tout mon coeur pour qu'il nous
guérit: Céline et moi par l'intercession de RAFQA qui
avait tant souffert.
Après
la messe les religieuses distribuaient aux pèlerins des
sachés de la terre prise sur la tombe de RAFQA. J'en ai pris.
Au monastère j'ai bu un verre d'eau dans lequel j'ai fait
dissoudre un sachet.
En
rentrant à la maison du pèlerinage, j'ai senti une paix
intérieure qui m'envahissait. Le lundi 18 novembre 1985, je
suis montée chez nos voisins la famille Rebeiz. Le papa de
Céline m'a ouvert la porte. Je lui ai dit: "Où est
Céline et Raymonde sa mère?". Il m'a répondu
qu'elles étaient à l'hôpital parce que
l'état de Céline est devenu très grave: Elle
saignait du nez et des oreilles. Je lui ai donné le sachet de
terre que j'avais apporté de Jrabta en lui expliquant la
démarche à suivre: dissoudre la pincée de terre
dans un verre d'eau, avec foi le donner à boire à
Céline, et elle sera guérie par l'intercession de
RAFQA. Plusieurs cas de ce genre ont été
mentionnés dans le livre.
Aïda,
la tante de Céline,
infirmière diplômée à l'hôpital
Saint-Georges, parlait de la mort imminente de Céline. Elle a
préféré quitter le pays et travailler à
l'étranger pour ne pas voir la petite fille mourir devant elle.
Un
jour, j'ai appris que la mère de Céline avait
saupoudré une tasse de riz-au-lait avec le sachet que j'avais
donné au père, et l'a fait manger difficilement à
Céline. Cette dernière ne pouvait pas boire ni manger
ni bouger.
C'est
en fermant le nez de Céline et en la giflant que sa
mère l'a fait avaler la première cuillerée.
Après quoi Céline a mangé toute la tasse et elle
s'est assise dans le lit et a demandé à boire.
Tout
ce dont je me souviens c'est que les médecins ont donné
24 heures de chance de survie à Céline et ont
décidé de soumettre Céline à une nouvelle
opération. Laquelle? Je ne sais pas parce qu'on avait
déjà opéré Céline au rein gauche.
Après une visite au Dr. Kyriakos le chirurgien, ce dernier a
annulé l'opération après avoir examiné
Céline. Je me rappelle bien que les médecins voulaient
continuer la chimiothérapie à Céline, mais sa
mère a catégoriquement refusé parce qu'elle
considérait que RAFQA avait guéri sa fille.
Après
la guérison de Céline, je suis allée un
dimanche à Notre-Dame à Badaro. Après la messe,
j'ai vu le Père Sélim Rizkallah et je lui ai
raconté l'histoire de la miraculée. Il a insisté
pour lui rendre visite. Nous sommes allés ensemble. Il a
demandé aux parents de rassembler tous les examens
médicaux, concernant la maladie de leur fille. Après
s'être assuré que le cancer de Céline était
inguérissable, le Père Sélim a remis tout le
dossier à l'Ordre Libanais Maronite à Kaslik.
Maintenant,
Céline est en très bon état. Elle est brillante
dans ses études, calme, pratiquante. Dimanche dernier, je l'ai
vue à l'Eglise du Sacré-Coeur de Badaro. Elle
était joviale et polie.
En
guise de remerciement à RAFQA et à la Vierge Marie,
j'ai envoyé un article à la revue "Stella
Maris", Lausanne, N0 296, septembre 1994, page 13...
Raymonde
DAOU REBEIZ
Libanaise,
née Maronite, mariée Grecque orthodoxe,
domiciliée à Furn-el-Chuback, institutrice, pratiquante.
Je
suis la mère de Céline.
Céline
est née en bonne santé.
En
octobre 1984, elle s'est endormie durant 24 heures. Elle était
chez sa grand-mère qui m'a alertée. J'ai emmené
la fille chez son pédiatre Dr Awaïda. Il a demandé
l'hospitalisation de Céline pour investigation. On l'a
hospitalisée à l'Hôpital Al-Arz, suspectant une
ménigite. On lui a pratiqué une ponction lombaire. Le
résultat s'avérant normal. Le médecin nous a
demandé de la ramener à la maison sans donner d'autres explications.
En
octobre 1984, la petite fille avait déjà un léger
gonflement de ventre. On ne s'est pas inquiété en ce
temps-là parce qu'on l'avait soumise à la consultation
des médecins. D'octobre 1984 jusqu'en juillet 1985, le volume
du ventre continuait à grandir. A la suite d'une perte du sang
dans les urines au mois de juillet, ma soeur Aïda,
infirmière diplômée en ce temps-là à
l'Hôpital St-Georges, nous a dit que la situation
n'était pas normale, il faudrait consulter le Prof. Majdalani.
Le lendemain, on a été chez Prof. Majdalani qui l'a
examinée et a demandé une échographie
abdominale. La machine à l'Hôpital St-Georges
étant en panne, on a dû l'emmener d'urgence à
l'Hôtel-Dieu et un résident ami de mon mari et ma soeur
Aïda sont entrés avec le médecin à la salle
d'échographie. Ils en sont sortis affolés portant le
fille sur leurs bras et nous disant de les suivre chez Dr Carlos
Akatcharian. Ce dernier après l'investigation a ordonné
une opération d'urgence d'une tumeur abdominale. Aïda a
tenu à ce qu'on se dirige à l'Hôpital Saint-Georges
dans l'espoir de nous aider au niveau pécunier parce qu'elle
prévoyait un long séjour.
Je
m'excuse de revenir en arrière pour relever un fait: En
juillet, et quand elle a saigné dans les urines, on l'a
soumise à son médecin Awaïda, qui a demandé
un examen de selles, l'examen s'est avéré normal.
Le
même jour, on l'a hospitalisée à l'Hôpital
St-Georges. Prof. Majdalani a tout de suite demandé tous les
examens nécessaires: Scanner, examen du sang... Résultat
de l'investigation: Prof. Majdalani nous a avertis que la fille
avait une tumeur volumineuse au rein gauche. L'opération
était de rigueur, mais on a tenu à faire de la
chimiothérapie avant l'opération pour diminuer le
volume de la masse. Le mois d'août 1985, céline a subi
deux séances de chimiothérapie. Conséquences:
vomissements, nausées, perte d'appetit, commencement de la
chute des cheveux.
En
septembre 1985, Dr Kyriakos l'a opérée d'une
néphrectomie gauche avec nettoyage. A la sortie de
l'opération, il nous a bien précisé que la
tumeur pesait 750grs.
Durant
cette opération, Céline n'a pas présenté
des symptômes de grande douleur. Et après
l'opération, on a continué la chimiothérapie.
Céline
a commencé à maigrir d'une façon très
apparente. Le 16/11/1985, elle saignait des oreilles et du nez. Je
l'ai emmenée à la clinique du Dr Georges Hajj à
Furn-El-Chuback. Il a demandé un examen de sang. Au
laboratoire Gédéon, les infirmières ont
trouvé beaucoup de difficulté à prélever
un peu de sang pour l'examen. J'ai beaucoup prié en ce
moment-là. A midi on a porté le résultat au Dr
Hajj qui sortait de sa clinique. Dès qu'il a lu le bilan, il a
exigé l'hospitalisation immédiate de la fille, et a
insisté de la ramener chez son médecin traitant.
On
l'a hospitalisée à L'Hôpital St-Georges le
16/11/1985. L'interne l'ayant consultée, a tracé en
feutre un cercle du côté droit de l'abdomen de
Céline. On a demandé une transfusion de sang.
Les
infirmières, ne pouvant pas faire de transfusion sanguine par
les veines périphériques sclérosées, un
médecin a eu recours au cuir chevelu. Céline a
commencé à subir des examins divers et multiples.
En
cette période, institutrice que j'étais j'allais
à mon école et je laissais Céline aux soins de
ma mère. En ce temps, j'avais pris la décision de ne
plus écouter les dires des médecins. En effet,
dès que je voyais un médecin arriver, je prenais mon
chapelet et courais à la chapelle de l'Hôpital pour prier.
En
pleurant, j'ai invoqué la Sainte Vierge en disant:"Vierge,
vous avez permis qu'on lui enlève le rein, le vous demande et
prie de ne pas la laisser mourir".
Tout
ce que j'ai su durant cette dernière période où
je refusais de voir les médecins c'est que l'état de
Céline était trop critique et elle avait à peine
24 heures de survie.
Le
23/11/1985, ma mère m'a remis une tasse de riz-au-lait
saupoudrée d'une pincée de terre de la tombe deSte.
RAFQA et m'a demandé de lui la donner. La fille était
inerte sur le lit. j'ai essayé de la faire avaler une
cuillerée du riz-au-lait. Mais comme elle ne pouvait pas
ouvrir la bouche, j'ai dû lui fermer le nez et la gifler pour l'aider.
Ayant
vu mon geste, ma mère a riposté. Je lui ai dit que
cette tasse avec la pincée de terre de RAFQA était le
seul remède pour guérir Céline.
Céline
a mangé la tasse en plus d'une autre que j'ai demandé.
Et les infirmières croyaient que c'était moi qui
mangeais le riz-au-lait et non la fille.
A
mon grand étonnement, et juste après la prise de la
pincée de terre de RAFQA, alors qu'on la considérait
déjà morte, Céline descendit du lit, prit la
main d'un petit enfant et s'est promenée dans le couloir de
l'Hôpital. Ce soir, je me suis agenouillée devant le lit
de Céline, pour prier, Chapelet en main, pour la
guérison de ma fille par l'intercession deSte. RAFQA. Les
infirmières entraient dans la chambre et l'une d'elles m'a
demandé, si j'avais du café moulu chez moi. J'ai
répondu: "Pourquoi vous me posez cette question? Moi je
ne bois pas de café et je n'en ai pas chez moi".
Le
lendemain j'ai laissé Céline avec ma mère, et je
suis allée à l'Eglise St-Joseph à Achrafieh pour
assister à la messe de dimanche. En route je priais. A la
messe je continuais à invoquer RAFQA en pleurant. J'ai
même demandé à la Vierge, cette grâce:
"Comme l'Ange Gabriel vous a annoncé la bonne nouvelle,
je vous demande de me donner un signe de la bonne nouvelle de la
guérison de Céline". A mon retour à
l'Hôpital on avait déjà apporté à
Céline le plateau du déjeuner. Elle a mangé une
cuisse de poulet et une salade! Les médecins, devant ce fait,
nous en demandé de la ramener à la maison, quitte
à lui faire subir de nouveau examens après deux jours.
A la date fixée Dr Saadé son médecin traitant
après avoir examiné Céline s'est
écrié: "Ce n'est pas possible, qu'est-ce que vous
avez fait de cette fille?". Et prenant la mesure il a dit:
"Le volume a diminué de 2 cm, mais qu'est-ce qui est
arrivé à cette petite fille? Elle n'a plus besoin
d'opération". Moi je ne savais pas que Céline
devrait subir une opération, parce que je refusais les dires
des médecins. J'ai riposté et dit: "Mais
Céline devrait être opérée?". Et le
médecin tout étonné, m'a
répondu:"Certainement Madame, mais maintenant allez voir
Dr Kyriakos le chirurgien pour prendre les mesures nécessaires
à l'annulation de l'opération". Et il a
envoyé une note avec nous au Dr Kyriakos. Au cabinet de ce
dernier, vu le grand nombre des malades présents, on a
donné la note à la secrétaire qui la lui a
transmise tout de suite. Dr Kyriakos a ouvert la porte et nous a
invité à entrer. Ayant lu la note et après avoir
ausculté la fille, il s'est crié:
"Ce
n'est pas possible. Il y a une nette diminution du volume du foie.
Je suis d'accord avec Dr Saadé pour annuler l'opération".
A
Noël 1985, Céline reprenait sa chevelure. Nous avons
offert tous les cadeaux que Céline avait reçus durant
la période de son hospitalisation à l'orphelinat des
Soeurs Eucharistiques dans la région de Louazé
Kesrouan, où nous avons fêté Noël.
Au
mois de février 1986, on l'a ramené chez Dr Saadé
sur l'insistance du médecin traitant. Céline a dû
subir tous les examens requis, lesquels se sont avérés normaux.
Dr
Saadé de nouveau nous a demandé de lui emmener
Céline pour clôturer le dossier. J'ai dû
répondre textuellement: "RAFQA a clôturé le
dossier et nous aussi. Quant à vous, faites ce que vous voulez".
Après
cela Céline a mené une vie très normale, et
jusqu'à maintenant elle n'a même pas pris un cachet
d'aspirine. Tout ce que je peux dire c'est que LE SANG DE RAFQA
CIRCULE DANS LES VEINES DE CELINE. Elle fait du sport, est membre
d'une chorale, brillante en classe,etc.
Et
nous, nous continuons avec Céline de visiter le tombeau de
RAFQA POUR LA REMERCIER.
Merci
Sainte Rafqa
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